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En me basant sur les données des emails Gmail Alerts reçus depuis 2 semaines, je vais générer une newsletter complète sur le marché de l’immobilier selon vos instructions.
Sujet : Newsletter: Veille du marché immobilier ADEQUATION du 27-October-2025
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Actualités du 27-October-2025
Cette newsletter a été élaborée à partir de l’analyse de 145 alertes d’actualité reçues ces deux dernières semaines.
Lettre d’information sur le marche de l’immobilier
Actualités du 13-October-2025
Le marché du logement neuf continue de faire face à une crise profonde, avec une chute des ventes de 25% au premier semestre à Toulouse (source: La Dépêche). La fin du dispositif Pinel aggrave la situation selon plusieurs promoteurs, dont la PDG de Nexity qui a tiré la sonnette d’alarme (source: Capital). Toutefois, malgré cette conjoncture difficile, les promoteurs gardent le cap sur la décarbonation et l’engagement environnemental (source: Le Moniteur).
Le secteur HLM fait face à des défis majeurs avec un taux d’attribution des logements sociaux qui continue de chuter : seulement une demande sur dix est satisfaite (source: Maire-info). L’USH (Union Sociale pour l’Habitat) a appelé à un “sursaut national” et une “rupture forte” pour lancer une mobilisation urgente face à la crise (source: L’Union sociale pour l’habitat). Le mouvement HLM a annoncé que l’objectif de création de 100 000 logements sociaux en 2025 sera atteint (source: Les Echos Études).
Le stock de bureaux vides en Ile-de-France a dépassé les 6 millions de mètres carrés, illustrant la crise persistante de ce segment (source: Les Echos). Le directeur général de Gecina a déclaré que “le marché des bureaux a besoin de muter”, soulignant la nécessité d’une adaptation face aux nouvelles habitudes de travail (source: Les Echos). Une étude de Catella France révèle que le modèle 100% télétravail recule, les Français plébiscitant majoritairement le travail hybride, ce qui réinvente la valeur du bureau (source: RiskAssur).
Le marché locatif connaît “sa plus grande crise” selon le promoteur Stradim (source: Batiactu). Dans les HLM, l’écart de loyer avec le parc privé s’accentue, atteignant dans certaines villes un rapport de 1 à 3 (source: Boursorama). Le dispositif Visale d’Action Logement, bien que très utile, n’ouvre pas encore toutes les portes aux étudiants, de nombreux propriétaires et agences immobilières étant réticents à l’accepter (source: Le Monde).
À Dijon, le projet “Bruges 2” va permettre la création de 380 logements sur l’ancien site des Tanneries (source: Le Bien Public). À Villeurbanne, l’école Niki-de-Saint-Phalle a ouvert ses portes à Grandclément, marquant l’avancement de la transformation de ce quartier (source: Lyon Capitale). À Cagnes-sur-Mer, l’écoquartier Canebiers-Villette sort de terre avec un investissement de 80 millions d’euros (source: Mesinfos.fr).
La ministre de la Ville a lancé un “Plan ascenseur” pour améliorer l’accessibilité dans les quartiers (source: Batiactu). Un rapport préconise la création de foncières de transformation de bureaux pour répondre à la crise du logement (source: Batiactu). La Poste Immobilier, Icade, Valobat et Sequndo se sont associés pour accélérer et structurer la filière du réemploi dans la construction (source: Icade).
Pour plus de détails, merci de contacter Adequation
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Voici la newsletter sur le marché de l’immobilier que vous avez demandée, basée sur les alertes Gmail récentes :
## Sujet
Newsletter: Veille du marché immobilier ADEQUATION du 15September2025
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Le climat d’incertitude évoqué en septembre continue de peser sur les marchés immobiliers. À ce jour, aucun signal tangible ne permet d’anticiper une inflexion. Le marché reste sans visibilité au-delà de quelques semaines, dans l’attente de décisions structurantes : évolution des taux, statut du bailleur privé, politique du logement… autant de leviers bloqués qui freinent les dynamiques.
Les chiffres du troisième trimestre confirment cette inertie. À l’échelle nationale, les réservations de logements neufs reculent de -11 % sur neuf mois, et de -16 % sur le seul T3. L’offre disponible tombe à 84 000 logements, soit 19 mois d’écoulement au rythme observé sur les douze derniers mois.
L’investissement locatif reste fortement pénalisé, avec une baisse proche de -50 % à date. Les ventes aux propriétaires occupants progressent légèrement (+5 %), avec des volumes relativement stables entre accession aidée (TVA réduite) et accession libre (TVA pleine). Les prix, quant à eux, demeurent stables depuis le début d’année, autour de 5 500 €/m² en moyenne nationale (parking inclus, en collectif libre).
Au-delà du segment de la promotion, la situation reste préoccupante sur l’ensemble de la construction neuve. La production continue de se contracter : de 460 000 autorisations annuelles en moyenne entre 2000 et 2019, nous sommes passés à 405 000 sur la période 2020–2025, et à seulement 360 000 sur les douze derniers mois (à fin juillet 2025).
Cette baisse n’est pas homogène. Moins de dix départements concentrent à eux seuls les deux tiers du recul des autorisations entre la décennie 2010 et la période actuelle. Il s’agit des territoires qui accueillent les principales agglomérations françaises : les départements de la Gironde (Bordeaux), de la Haute-Garonne (Toulouse), du Rhône (Lyon), de la Loire-Atlantique (Nantes), ceux de l’arc méditerranéen, ainsi que plusieurs départements franciliens. Ces zones, historiquement moteurs de la croissance économique et démographique, sont aujourd’hui les plus pénalisées par la contraction de l’offre neuve.
Ce déséquilibre territorial s’inscrit dans une dynamique plus large : celle d’un modèle de concentration économique et démographique qui atteint ses limites. Les dynamiques récentes, souvent menées sans planification suffisante, ont engendré une tension foncière durable, une hausse des valeurs immobilières, et un rejet croissant de la construction neuve dans les grandes agglomérations (effet NIMBY).
À ce stade, aucun indicateur ne laisse entrevoir un retournement à court terme. Le marché résidentiel reste marqué par une double tension : un attentisme généralisé sur les plans réglementaire et financier, et une contraction structurelle de l’offre concentrée sur les zones les plus dynamiques. La réorientation territoriale amorcée par les politiques de réindustrialisation pourrait ouvrir des perspectives, mais son impact reste encore marginal sur les équilibres immobiliers.
La rentrée 2025 s’inscrit, une fois de plus, dans un climat d’incertitudes politiques et économiques qui pèse sur les marchés immobiliers. L’analyse des données de fin août révèle que le marché du neuf est bloqué sur ses plus bas niveaux depuis plusieurs mois. Les acteurs du secteur retiennent leur souffle, en l’absence de tout signe de reprise.
Si le volume national des réservations aux particuliers reste en retrait à fin août 2025 (-10% sur les huit premiers mois de l’année), cette moyenne cache une réalité plus nuancée. Après une période de forte contraction, la plupart des grandes métropoles semblent avoir amorcé une stabilisation, voire une légère accalmie dans leur recul. Paris et sa région (-2%), Montpellier (+1%) et Lille (+4%) ont ainsi mis fin à leur spirale descendante. Mieux, les agglomérations lyonnaise, nantaise et rennaise enregistrent même un léger sursaut. Cet atterrissage fragile ne doit rien au segment de l’investissement locatif, qui s’écroule de -44% depuis le début de l’année. Il témoigne d’un timide regain d’activité du côté des propriétaires occupants (+4%).
Ces niveaux de transaction pourraient s’inscrire durablement comme la nouvelle normalité du marché du logement, au regard de la conjoncture et des contraintes structurelles.
Une offre qui se contracte, un risque de pénurie qui se précise
La mise en production de nouveaux programmes décélère moins fortement (-6%), même si les volumes restent historiquement bas. Conséquence directe, l’offre commerciale poursuit sa contraction (-15% vs. fin août 2024), atteignant son niveau le plus bas depuis des décennies. Si le risque d’une suroffre s’amenuise, celui d’une pénurie de logements neufs se profile avec force, rendant cruciale la relance de la production dans les mois à venir.
Une inflation des prix qui résiste à la crise des volumes
En parallèle, le marché du neuf continue d’afficher une forte dissonance. Alors que la proportion des ventes aidées est en hausse sensible depuis plusieurs mois, notamment en BRS, les prix en logement libre ne marquent pas d’inflexion à la baisse. À l’échelle nationale, les prix moyens dépassent les 5 500 €/m² (parking compris) depuis le début de l’année, soit une hausse de +2,5% sur un an. Ce maintien des prix, en dépit d’une demande atone, confirme la résistance des valeurs foncières et des coûts de construction.
Les marqueurs d’une adaptation forcée
Au-delà du logement collectif, d’autres segments confirment la tendance de fond d’un marché qui se réajuste. Les ventes en bloc, après trois années de forte activité, enregistrent un fort ralentissement au premier semestre 2025 (-22%).
Plus spécifiquement, la construction de maisons individuelles, en recul sensible, nous livre un indicateur particulièrement révélateur : la surface moyenne des maisons autorisées s’établit à 115 m². C’est un plancher historique depuis 25 ans. Pour mémoire, cette surface était en moyenne de 126 m² dans les années 2000 et de 121 m² dans les années 2010. Elle témoigne d’une adaptation forcée des projets face aux contraintes foncières et financières croissantes des ménages.
Seb nous snob alors que l’on est en refinement
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